MORPHÉE TROUVE QUE C'EST CLASSE DE S'APPELER ❝Jack Dees [Schaun R.]
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Sujet: Jack Dees | Mar 24 Avr - 22:50
JACK DEES
schaun raikes
« Je suis le sentiment de rejet exacerbé de Jack... »
feat. Hikikata Toushirou, Gin Tama.
« Avant, tout le monde m'appelait Jack, Jack Dees. Le 3 août dernier, on m'a souhaité mon 25ème anniversaire. Mais cette année, 1er août, une adolescente est venue me voir, en s'écriant « Joyeux anniversaire, grand-frère ! » Et elle m'a demandé si j'arriverais à éteindre 26 bougies d'un seul souffle dans un rire enfantin. Son enjouement était tel, que j'aurais voulu accepté son défis. Mais j'aurais aussi voulu lui dire, que le mien n'était que dans deux jours.
Contrairement aux majestueux manoir de la porte d'Apollon, je n'avais qu'une petite maisonnette et un bout d'herbe pour respirer. Et je l'aimais bien. Il fallait monter à l'étage pour apperçevoir la montagne des hasards mais je préférais de loin ça, à la vue de tout ces toits recouverts de vieille brique pourrissante que donnait les fenêtres de son appartement. Je ne l'avais vu au paravant, mais depuis le sallon j'avais deviné l'usine fumante de la porte de Déméter. »
PRÉNOM & NOM • Jack Dees SEXUALITÉ • Hétérosexuelle. NIVEAU • Porte du Nyx.
Anciennement ;
ÂGE & NAISSANCE • 3 août 2474, 26 ans. MÉTIER • Officier de police. NIVEAU • Porte d'Apollon. PUCE • Oui, solidification du sang.
Maintenant ;
CORPS D'EMPRUNT • Schaun Raikes ÂGE & NAISSANCE • 1er août 2474, 26 ans. MÉTIER • Enquêteur. NIVEAU • Porte de Déméter.
physique
« Félicitation, tu vas bientôt toucher le fond.»
Je me savais différent, mais je n'avais jamais regarder en quoi. Je n'avais jamais vraiment prit la peine d'observer ce corps esclave de mon esprit. Alors c'est là, ainsi debout devant un miroir, que je regardais l'homme qui s'y reflétait. Mon premier réflexe fut d'attraper mon jean, encluant le caleçon pour les tirer vers l'avant. À risque, je m'y pencha pour vérifier cette zone. D'un bref geste, mon jean se referma tel un élastique sur le bas de ses reins tandis que je lâchais un soupir de soulagement. Ca faisait quand même une frustration en moins. Puis, mon regard longea sa grande carrure, semblable à la mienne dans sa hauteur mais plus large des épaules. Un sourire commença à se tracer sur ses lèvres.
Et le temps d'un battement de cils, le masque tomba. Schaun regarda son corps et Jack le regarda. C'était le temps d'une confrontation, d'un regard perçant et l'expression d'un visage marqué. Schaun se voyait et Jack le voyait.
Ce sourire entamé prit fin maladroitement, mélangeant peur et frustration en même temps. J'étais maintenant recourbé sur lui-même, sa main étreinte autour de son cou fragile, suant comme si j'avais couru. Couru jusqu'à sentir tout ses muscles developpés brûlés, jusqu'à ce que de l'acide sulfurique s'ingurgite dans ses veines à la place du sang. Ô ce que j'avais envi de hurler et m'arracher de son corps. Non. Il avait envi de hurler. Moi je ne faisais que retenir ses plaintes incessantes, la main plaquée contre ses lèvres souvent souriantes. Front contre sol, les bras fermement agripés à son torse brûte comme s'il était prêt à éclater pour m'y faire sortir.
En quelques secondes, tout redevint comme avant. Je relevais la tête, la joue traînant contre le parquet. Je rampa à moitié jusqu'à la salle de bain, marchant à quatre pattes, m'aggripant contre le mur, marchant le dos courbé jusqu'à arrivé droit devant le lavabo. De nouveau devant un miroir alors que j'examinais son visage cerné, creux et sans vie, j'allumais le robinet. L'eau avait une odeur de remontée d'égout, d'une mauvaise fausse septique bouchée, d'une étable rempli de merde qui aurait servit pour une orgie jusqu'à ce que... Je noyais ma tête sous l'eau. Et cette envie de vomir ses tripes s'en alla comme si l'odeur avait été balayer par un coup de vent.
« Schaun ? »
Mais tant que je serais sous cette eau tu pourra pas me faire sortir.
« Schaun ! »
Tant que je serais là, agripper à ta chaire...
« Eh, Schaaaaun... »
Je remonta les épaules, prêtant attention à cette voix. En voulant ressortir la tête de l'eau, l'arrière de ma tête cogna contre le robinet métallique, m'arrachant un râle rauque ainsi que des injures. Encore trempé, je porta mes mains à la zone touchée. Je fis plusieurs tour sur moi-même avant de m'asseoir sur le rebord de la bainoir.
« - Fait attention ! Ça va ? Espèce de maladroit... Tu m'as fais peur à rester ainsi sous l'eau. Qu'est-ce qui a, t'arrives pas à dormir ? »
C'était comme se faire traiter de gosse par un plus petit gosse. Et tandis qu'elle passait ses fines mains dans ma chevelure brunes ternis et ébouriffée pour me masser, je sentis son regard lourd se poser sur le mien avant de prendre une tournure inquiète. Alors crispé, je rabaissa enfin mes épaules soufflant. Je retira sa main de mes cheveux plaqué sur la nuque sauf cette perpétuelle mèche venant cacher pour toujours mon front jusqu'entre mes deux yeux bleux pronnonçés, quelque peu tirés. Je finis par me remettre sur pied, la tenant par les épaules pour la faire sortir. Elle se retourna, boudeuse.
« Mais dit moi ! Fait pas ton grand garçon du haut de tes un mètres quatre-vingt et des poussières qui peu régler ses problèmes tout seul puisque dès que monsieur a un rhume il a besoin de moi. »
Les lèvres tirés, touchées par sa gentilesse se retournèrent néanmoins quand elle lui apprit ceci. Une ride du lion prit place malgré qu'elle soit caché par des mèches de cheveux. Même pas capable de soigner un rhume soit-même. Mais elle remarqua bien vite cette air contrarié sur le visage de son frère vite expressif. Elle retira donc sa main de son menton mal rasé pour aller lui taper le front.
« - Je sais pas ce qui te cours sur le haricot mais arrête de prendre cette air là, on voit tes cernes alors que d'habitude non. Je t'envie bien pour ça d'ailleurs.
- Si tu serais en train de roupiller à cette heure-ci, t'aurais peut-être moins de cernes justement. Aller, va te coucher, tu dois avoir cours demain. »
Semblant étonnée par ma replique, comme si c'était peu habituel, elle laissa un silence avant de tourner les talons.
“ Si je ne disais rien,
les gens supposaient toujours le pire. „
Tout était de sa faute. Si elle n'avait pas eu ce regard. Puis ça devint leur faute. S'ils n'avaient rien créer d'aussi... énigmatique et arriviste ! Je n’en serais pas là. Je serais toujours… Jack Dees (?) tel que l’on peut connaître. Un petit chanceux parmi d’autre à la porte d’Apollon avec un métier aimable comme détestable. Mais voilà, elle est arrivée et elle a tout foutu en l’air.
Elle, c’était Sixtine Carstea. La première fois que j’entendis parler d’elle, on me l’a dicta comme l« la folle qui fallait absolument arrêter » car elle était à la limite d’éclater tout un service hospitalier. Habitué des tels cas, je m’attendais plus à une vieille refusant de prendre ses médicaments qu’à… Elle. Ce petit corps de femme blonde qui dérapait totalement. Désespoir quand tu nous tiens. Forcément là, je n’étais moins habitué à ce genre de confrontation parce que c’est moi qu’on avait envoyé. J’y suis parvenu, à la calmer. Mais je suis revenu avec l’arcade sourcilière bleue et gonflée. Comme quoi. Pour atteinte à agent, elle prit chère en heure de garde à vue. Dans le métier, il y a les cons et les moins cons. Il y a les cons bornés qui ne cherchent qu’à se débarrasser des choses logiques puis les moins cons qui appâtent la confiance avec la technique du « Je suis sympa mais je reste un flic. » Et puis il y a moi, qui doit s’occuper d’une nana qui venait juste de me foutre un coup de boule et qui ne semblait pas vouloir parlé. Ça t’appendra, Jack à n’avoir que le plaquage comme solution.
Alors oui, avant qu’elle ne devienne celle qui allait changer mon identité ; elle était une espèce de détenue provisoire en garde à vue sous ma surveillance.
Pourtant le courant passa largement sans que l’un de nous fasse un effort considérable. C’était comme avoir une conversation avec un vieille ami. C’était comme se redécouvrir alors que l’on ne se connaissait pas. D’après ses explications, il ne s’agissait d’un débordement et qu’après ce qu’elle avait vécu ça pouvait se comprendre. On craque et on explose. Mais de ses paroles, ce n‘est pas ce qui m'a le plus marqué. Des gaffes on en fait tous. Elle était ici dans cette cellule provisoire que par formalité pour ne pas faire d’exception. Elle allait en ressortir indemne, sans antécédents mais avec un mentor. Moi, son aîné de trois ans. Je ne sais même plus lequel de nous a décidé de ce rang. Cela c’était fait naturellement. Son regard, cette expression et cette ambition. À côté d’elle, je me sentais ridicule dans mon petit confort. À côté d’elle je me sentais comme un gamin. J‘étais un gamin né avec tout les cartes mains, sans être parfait : argent, famille, rang ; j‘étais un gamin qui n‘avait pas besoin de grandir. Sixtine, elle, avait cette envie de monter dans la société, elle avait un but qui la poussait à se lever tout les matins. Ce petit truc, surement futile aux yeux de certains, qui la faisait marché malgré une vie guère amusante. Mais c’était ça vivre. C’était Phoenix qui l’intéressait. Du moins, qu’elle cherchait à améliorer. C’était ça que j’avais retenu. Alors j’avais décidé de lui donner mes cartes.
Depuis quelques années maintenant, il était vrai, qu’ici à Antalis, cette puce était devenu un espèce d’espoir universel. Une fois qu’on l’avait sous notre peau c’était une autre image que l’on donnait de nous. Je ne me souviens plus très bien pourquoi j’avais fait ma demande pour en avoir une. Il s’agissait d’un coup de tête, pour intéresser ma mère à l‘époque où c’était tout nouveau. Cela faisait deux ans que j’étais majeur déjà mais j‘étais toujours ce petit con bon à rien qu‘elle avait mit au monde. Et c’était la même considération pour tout les hommes de la famille. Sa devise : « Les couilles, je les arrache avec les dents et je les crache par la fenêtre. » Ca m’a toujours traumatisé gamin. Néanmoins, même avec Phoenix, son regard resta le même. Mais sa restait ma mère. Protège tes couilles, Jackouille. Je ne m’en servis donc pas, n’en voyant pas l’intérêt. C’était du gâchis. Le nombre de fois que je m’en étais servis pouvait se compter sur les doigts des mains. La solidification du sang. Et en plus trop dangereux. Jusqu’à ce que j’intègre le département de sécurité.
Je n’utilisais pas la puce tout les jours, ni pour n’importe quoi mais dans les situations les plus rudes, on savait qui envoyer sur le terrain. J’essayais de comprendre son fonctionnement à 22 ans, deux ans seulement après son acquisition. Et pourtant, même après trois ans d’utilisation, je ne l’avais jamais poussée à fond. Je l’avais juste… maîtrisé ? C’était ce que je croyais et c’est pour ça que j’aidais Sixtine à « maîtriser » sa puce, pour qu’elle atteigne son but. Enfin vous savez, pour être sûr d’avoir comprit un sujet, on tente de l'expliquer de nouveau à quelqu’un. C‘est ce que nous a apprit l‘éducation pédagogique. Mais il ne fallait pas charrier, on oublie toujours ces bonnes vielles techniques scolaires. Moi le premier. Toutefois, lorsque je voulais lui expliquer les principes de la puce, je ne savais par quoi commencer. Je ne savais quoi lui dire. J’ai voulu me rappeler de comment j’avais appris mais c’était comme me souvenir ma première bouffé d’air fraîche. Tout était tellement logique dans ma tête que je m’étais jamais poser de questions, comme si c‘était, instinctif. Mais pourquoi ? Je n‘aurais pas su… C’était impossible ! de lui dire quoi qu’est-ce à propos de Phoenix. Je veux dire, c’était comme lui apprendre à respirer ou à manger. J’avais donc commencer par les risques qu’elle courrait en l’utilisant. Ainsi que mes mauvaises surprises et donc les choses à éviter. Puis je me suis mis aux vielles ressources, soit les bouquins. Il y en aurait forcément qui pourrait expliquer ce genre de chose. Pour autant, rien ne semblait m’éclaircir. Car oui, ce n’était même plus pour elle que je me m’étais mis à chercher, mais pour moi-même. Elle avait réussi à éveiller une curiosité enfouie au fond de mon esprit. Moi aussi à présent, j’avais quelque chose qui m’intéressait, tant que ça en devenait obsessionnel.
C’était digne d’un film américain, je vous jure. J’avais l’impression d’être le petit gamin qui ne connaissait que la routine jusqu’à ce qu’il découvre le pouvoir magique de son corps qui attire la convoitise de tous. Jétais pathétique.
Je me revois, chaque soir où je rentrais après les rendez-vous fixé avec Sixtine, séduit de plus en plus par la puce enfouie sous mes veines. Je m’asseyais là, au milieu de mon salon vide, une lame de rasoir entre les doigts. Cela commença par de simple écorchure aux doigts qui m’arrachaient des grimaces digne d’un gosse mangeant des épinards. Je renversais mon doigt, appuyant dessus pour en faire sortir quelques gouttes de sang. Et d’un battement de cil, avant que les goutes n’atteignent le sol, elles se figeaient littéralement. La substance rouge restait ainsi coller à ma peau, dure comme du fer en forme de stalactite. De ma grimace, s’échapper un fin sourire de satisfaction. Puis ce fut mes paumes de mains qui furent taillées quand mes doigts affichaient complet en pansement. Jusqu’à mes poignets, jusqu’à mes avants bras. Je me souviens encore des regards effarés des gens qui travaillait avec moi en voyait toutes ces entailles. Certains pensait que j’étais suicidaire, d’autre croyait que j’avais adopté une portée de chaton. Mais presque plus rien m’importait. Chaque jours je mourrais et chaque soirs de je renaissais.
Je n’aurais su dire si c’était ma puce en particulière qui m’intriguait autant ou Phoenix, à cette époque là. J’avais juste besoin de me découvrir, de La découvrir. Tout grandissais si vite ! Je devenais le droguer accro à ce que pouvais faire la science, curieux de savoir jusqu’au tout ça pouvait nous mener. Je n’allais plus au travail, je ne donnais plus de nouvel à personne, je ne sortais plus, je ne mangeais plus, je ne dormais plus. Même Sixtine m'étais sortie de la tête. Alors qu'elle avait réussi à me hanter de son sourire en seulement quelques jours auparavant. Une semaine. C’est le temps qu’il me fallut pour sombrer complètement. Et lorsque les ridicules lames de rasoir ne suffisaient plus, j’allais chauffer au risible feu de la gazinière un couteau. Et lorsque les mains, les bras devinrent impraticables, c’est le torse qui les remplaça. Je ne cherchais pas à mourir, les blessures que je m’infligeais tel un masochiste, cobaye de ma propre expérience, n’étaient que coupure, bobos superficielles et griffure de chat. De ce que je croyais jusque là.
Il faisait noir, atrocement noir. Alors j’ai voulu prendre mes mains et tâter l’environnement. Mais je n’avais plus de main. Alors j’ai voulu faire appel à mes jambes, mais je n’avais plus de jambes. Alors… J’ai voulu paniquer. Mais à la place de ça, je me suis réveillé. C’était comme un lendemain de cuite, comme rependre conscience après un mauvais trip. Ils appelaient ça le Cortex. Et après éclaircissement de sa fonction, je trouvais ça toujours autant flippant tant de couleur pour un lieu aussi glauque. C’était un soi-disant mec comme moi qui m’avait donner ces explications. Un mec comme moi. Ou du moins, une conscience comme moi. Oh je ne vous répéterait pas tout ce qu‘il m‘a dit, surtout que vous savez très bien où je suis ainsi que comment je suis. C’est vous que j’envi maintenant, dans vos corps confortable.
rêves et ambitions
« Perdre tout espoir, c'était ça la liberté. »
En tant qu'oublié peut-on vraiment avoir des rêves et des ambitions ? Des vrais rêves, des promesses faites depuis qu'on est gosse et des convoitises d'adolescent, des choses qui aurait justifié le choix de nos études ? Rien, keudalle, nada. En tant qu'oublié tout se brise dans éclat de verre fragile contre le bitume crade des vices. On ne croit plus en rien. Cependant, on espère. On espère qu'un quelconque miracle se produise et nous ramène en arrière, rien qu'en fermant les yeux. Mais on espère bêtement à des choses futiles, inutiles et puériles. Nous sommes pathétiques. C'est notre vie et elle s'achève minute après minute. Et pourtant, une fois avoir tout perdu, on était libre de faire tout ce que l'on voulait. Comme essayer d'atteindre un niveau sociales digne de ce nom. Après tout, qui vous dit que les petits « jeunes » d'aujourd'hui ne sont pas des types comme nous. Des usupateurs d'identités ! qui aurait eut plusieurs chance. Là voilà notre chance, là voilà mon ambition. Je te traquerais satané puce. Je jouerais les bourreaux du travail juste pour toi. Juste pour te pointer du doigt avant de m'enfermer, seul avec toi, pour te disséquer jusqu'à comprendre le fonctionnement de chacun de tes boyaux. Même si pour cela, je devrais m'approprié la vie du corps au quel je m'accroche, la brisé pour la reconstruire à ma façon.
mensonges et peur
« Même la Joconde subit les outrages du temps. »
Un mensonge ? On va dire... Moi. Moi, je suis un mensonge tout entier qui se balade sous votre nez en trotinant, souriant aimablement. Vous avez déjà vu une autruche marché ? À moitié en train de voller mais cloué au sol et la tête comparable à une poule vous narguant quand vous arrivez pas à l'attraper. Je suis une autruche.
YEAAAAAAAAAAH I HAVE FINISHED ! \\\o\\\ (vous voyez que je sais parler anglais *poum*). Bref. Ici Liesel pour ceux qui était de TLG avant. ~o~ Comment dire, quand je suis arrivé ici, ça été le renouveau. J'ai rarement des coups de coeur mais là, vous en faite partie. Tout est juste si... ghtreojtejh. Enfin bon, moi et les compliments c'pas mon truc, je sais. Mais je pense que vous savez à quel j'aime ce forum, dooonc.. \o Sinon j'ai bien prit en compte le règlement ainsi que tout le bazar qui va avec. 8D Avouez, vous avez plus regarder le strip-tease plutôt que mon blablatage. e_e
Dernière édition par Jack Dees [Schaun R.] le Mar 1 Mai - 15:56, édité 27 fois
MORPHÉE TROUVE QUE C'EST CLASSE DE S'APPELER ❝Morphée
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Sujet: Re: Jack Dees | Mer 25 Avr - 8:36
Bienvenue officiellement sur le forum 8D
Héhé, joli début de fiche qui s'annonce ** J'ai juste deux indications à faire pour le moment. Schaun étant le corps d'emprunt, d'après les informations que tu as indiquée et les descriptions, tu devrais inverser ton nom Jack Dees [Schaun R.]. Et au niveau de son travail "d'avant", il faudrait changer le "Lieutenant" et le "Assistant". Il n'y a pas vraiment de grades intermédiaires parmi les postes du Département Sécurité. Il compte pile 10 employés et il n'y a pas d'autres postes que ceux existants, il faudrait modifier pour tomber sur ce qui est le plus proche de ce que tu voulais 8D
Voilà, si tu as besoin de quoi que ce soit pour la suite, tu sais où nous trouver! Bon courage pour le reste ♥
MORPHÉE TROUVE QUE C'EST CLASSE DE S'APPELER ❝Jack Dees [Schaun R.]
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Sujet: Re: Jack Dees | Lun 30 Avr - 23:09
Finit ! \o/ Oui, je sais un fin d'histoire assez cru. Mais je pars vraiment de rien in rp (même s'il a déjà son corps).
MORPHÉE TROUVE QUE C'EST CLASSE DE S'APPELER ❝Myrina Kaminsky
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Sujet: Re: Jack Dees | Mar 1 Mai - 12:31
LIESSEEEEEEEEEEEELLLLL 8D
Bref... tu l'auras compris : bienvenue parmi nous =P
Amuse toi bien ^^
MORPHÉE TROUVE QUE C'EST CLASSE DE S'APPELER ❝Morphée
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Sujet: Re: Jack Dees | Mar 1 Mai - 14:06
Bienvenu officiellement sur Se7en Heaven's Doors ♥ Déjà intégré à notre merveilleuse communauté, tu sais où nous trouver en cas de besoin hein 8D Maintenant, file rp mauvais garçon ~ ! & pendant que j'y suis, oublie pas de faire ta fiche de suivi et surtout d'aller faire réserver ton avatar :'D
❝ Fiche validée ;
C'est moi ou tu es officiellement validé ?! Bienvenu parmi nous jeune pandawa -ohzutunattardédeplus-, sache qu'ici on rigole pas sans risquer de s'attirer les foudres divines, alors gare à ton popotin si tu ne veux pas qu'on finisse par le manger bien rôti à force de tes bêtises. Tu veux sauver ta peau ? Et bien commence par jeter un coup d’œil sur les demandes de rp -mieux vaut être mal accompagné que seul par ici-, et tu peux aussi faire un répertoire de tes soi-disant amis -pour ne pas dire que ce sont des chieurs qui pourrissent en vérité ta vie juste pour se marrer-. Et si tu as une question -une vraie de vraie quoi-, bah pose-la par ici avec un peu d'argent si tu veux que la réponse soit rapide et efficace -histoire de ne pas devoir repayer-. Bon. Je pense que tu es prêt à y aller mon petit vieux!
Que la force des nains soit avec toi !
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