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| » Steal Alone For Hope [Andras] [TERMINE] | |
| Auteur | Message |
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MORPHÉE TROUVE QUE C'EST CLASSE DE S'APPELER ❝Invité Invité
| Sujet: » Steal Alone For Hope [Andras] [TERMINE] Sam 5 Mai - 18:55 | |
| Le monte-charge chuta comme une pierre. Quelques mètres plus bas, sous secteur recherches. Amadeus était sûr de trouver ce qu'il était venu chercher. Il sentait son coeur accélérer dans sa poitrine tandis que l'ascenseur s'enfonçait. L'idée de mettre la main sur les travaux de son père l'exultait. L'idée de continuer ses recherches, ou encore d'améliorer ce qui avait déjà été fait. Lui faisait perdre les pieds, au point de s'imaginer le nez plongé dans ces notes en les étudiants frénétiquement. Il avait atteint le fond. Les portes du monte-charge s'écartèrent et Amadeus s'avança dans le couloir à peine éclairé. Tout au fond, une grande porte métallique. L'identificateur rétinien placé à côté de la porte, était identique à ceux ce trouvant sur le site. Pas de problème jusqu'ici. Avec ses privilèges il était, à lui tout seul, un « Master Key ». Il ralenti et aligna soigneusement son œil dans l'axe de la lentille. Un clic, et un minuscule rai de lumière scanna son œil en rapides allers-retours. Il recula mécaniquement de deux pas pour voir la porte coulisser. Et c'est avec assurance qu'il entra. La salle des archives était d’un futurisme échevelé. Blanc immaculé, bourré d’ordinateur et d’équipements spécialisés, d’étagères remplies de classeurs et de cahiers. Deux mondes s’affrontaient. Le moderne et le classique. Amadeus se demanda quels secrets pouvaient bien renfermer cette pièce. En tout cas, elle faisait jubiler le scientifique. Au point qu’il en oublia la raison de sa présence. La salle était anormalement vide. Déserte. Étrange, pensa-t-il, normalement il aurait dû y avoir une réceptionniste. Pas le temps de réfléchir à ce mystère qu’il se dirigea automatiquement en direction des étagères qui s’étalaient sur plusieurs mètres. Les rayonnages vitrés avaient une allure d’élégance. Ces géants endormis abritaient d’impeccables rangées de dossiers. Les collections scientifiques de la cité d’Antalis étaient d’une richesse inimaginable à qui voulait s’instruire. Amadeus, comme à son habitude, resta captivé par tant de postérité. Le temps passait, et il n'allait pas rester indéfiniment cloué sur place à contempler ces étagères. Et il était hors de question de perdre encore du temps à chercher dans toutes les étagères. Des terminaux d'ordinateurs étaient installés de l'autre côté de la pièce. Il aurait aimé que tout ce passe bien. Mais en vain, il s'était enthousiasmé trop vite. Il s'approcha d'une console et pianota sur le clavier. Ses craintes ce confirmèrent immédiatement. Une protection, un mot de passe dont il avait oublié jusqu'à la première lettre, si ce n'était pas un chiffre. Amadeus prit une profonde respiration et se retourna pour embrasser du regard les rangées parallèlement disposées. Il marcha jusqu’à la plus proche et cligna des yeux pour regarder l’intérieur. Il devinait avec aisance, l’ordre dans lequel les dossiers étaient disposés Levant les yeux sur les inscriptions fixées sur les étiquettes qui dépassaient du flanc des rayonnages, il entreprit de les lires un à un en longeant les allées. Biologie… Chimie … Histoire des sciences naturelles… Informatique… Le classement était alphabétique, par ordre de catégorie. Cela ne le surprenait pas. Il s’y attendait. Il préférait voir un ordre alphabétique d’auteur, mais cela aurait été impossible à respecter, en raison des trop nombreux ouvrages anonymes. Un classement trop simple, pensa-t-il, mais qui reste compréhensible pour tout le monde, ce qui peut permettre une rapidité efficace. La main au menton, il balayait du regard les allées. Puis, s'engouffra dans la quatrième d'un pas vif et confiant, en vérifiant les inscriptions au passage. Il tomba nez à nez avec l'étiquette « Physique », il savait que c'est ici qu'il trouverait l'ouvrage qu'il cherchait. S'il était bien rangé. Mais d'après la propreté de l'endroit, cela ne faisait aucun doute. Dans cette section, les dossiers étaient classés par auteur, alphabétiquement. Machinalement, Amadeus, d'un coup d’œil rapide, se dirigea directement vers le premier ouvrage et commença par la lettre "N". Il savait, qu'au moins ici, il allait trouver ce qu'il était venu chercher. Malheureusement aucun ouvrage de Naevius rangé dans les "N". Il décida de revenir sur ses pas, pour regarder et re-regarder toutes les œuvres présentes. Mais rien. Il repartie bredouille. Arrivé au fond de l'allée, il tourna à angle droit. ━ Rien , il n’y a rien… Répéta-t-il en marchant. Amadeus était embêté. Il n'imaginait pas rentrer bredouille. Il avait espéré, mais en vain. L'espoir même sur des données inutiles aurait été mieux que rien. Rapidement, il se trouva dans l'allée des mathématiques. Simple curiosité, il lança ses yeux sur la lettre "N" Et à son grand étonnement, un ouvrage de son père y était rangé. Agréablement surpris, il pensa à une erreur. Une erreur, dans un endroit sensé en contenir aucune ? Sans se poser plus de questions, il se saisit du cahier, qui semblait-être, à tout point de vue, un journal de bord. Il l'ouvrit pour en survoler quelques pages et comprit le pourquoi de son emplacement. Amadeus souriait, ce même sourire jubilatoire, amusé devant un casse-tête dont il connaissait d'avance la solution. Son père était aussi mathématicien, après physicien, et cet "œuvre" s'adressait à d'autre savant. La logique de ce langage lui permettait de suggérer le dessin d'un plan. Une écriture erroné rempli de calcule astucieusement dissimulé. Heureux de sa découverte, il regarda la couverture. Mais aucun titre à cet ouvrage pouvait lui permettre de le lancer sur un indice. Il prit le journal, le glissa dans sa poche et se dirigea vers la porte. Il se fichait de savoir, s'il avait le droit ou pas de l'emporter. Tout ce qu'il voulait et, peut-être, ce qu'il désirait le plus était à l'intérieur de cet ouvrage. Et des droits il en avait plus que les autres. Ses privilèges le permettaient. Amadeus Raffaëlo Naevius, sortie à grande enjambé du monte charge où sa curiosité atteignit son paroxysme. Enfin fit le scientifique. Il était impatient de découvrir les mystères qui se cachaient derrière se casse tête ingénieusement mit au point. Son cœur encore en ébullition ne voulait pas ce calmé. Tandis que son cerveau essayait de se contrôler. Il venait de mettre la main sûr, peut-être, quelque chose d'énorme. Il accéléra la marche. Mais rapidement il se souvint qu'aujourd'hui, il y avait cet évènement. Une porte ouverte. De nombreux visiteurs étaient amassés dans le grand hall d'entrer, avec journaliste et caméraman. Des reportages pour mettre au courant la population d'Antalis, sur les "Avancés". Ce n'était qu'un vernis qui cachait la vérité. Amadeus n'avait pas le temps de s'amuser devant les caméras. Il devait se dépêcher, gagner ses quartier rapidement pour arrêter cette montée de sang. Sur sa lancée, il bouscula une personne. Un inconnu qui se trouvait au mauvais endroit. Amadeus n'avait rien senti. La tête pleine de pensées, de rêve et de souvenirs. Mais les témoins ou la victime, allaient-ils le laisser s'en sortir si impunément. Sans même un mot d'excuse ? |
| | | MORPHÉE TROUVE QUE C'EST CLASSE DE S'APPELER ❝Andras Noriega √ Age : 27 √ Messages : 33 √ Pouvoir : Absorptio Vitae
| Sujet: Re: » Steal Alone For Hope [Andras] [TERMINE] Mer 9 Mai - 22:07 | |
| Laisse-moi coller mes mains contre ta gorge, tu veux ? Vas moins vite, Andras. Tu as le temps. Il n'est que cinq heures de l'après-midi, tu y arrivera avant ce soir. Après tout, tu t'y es habitué, non ? Simple, rapide, efficace, intraçable. On ne t'appelle pas Shadow pour rien, non ? Il n'empêche qu'aujourd'hui, ça te semble un peu différent. Spécial. Repoussant. Tu ne t'es jamais réellement demander si découvrir tes mains était une bonne chose ou non, tu le fais simplement. Eux, ils ne se sont pas non plus gênés pour tuer ta soeur. Tu sers les dents, grimace un peu, et te répète inlassablement qu'il ne faut pas y penser. Hallow et Ashford. Hallow et Ashford. Tes cibles. C'est tout. Ah, Andras. Tu ne peux pas t'empêcher de penser au regard angoissé de Lill quand elle est partie, quand tu lui a joyeusement lancé de ne pas s'inquiéter. Comment pourrait-elle être calme ? Elle se sent coupable jusqu'aux dents, irrémédiablement attirée par le fond, et toi, tu lui demande de ne pas se faire de soucis. Tu sais qu'elle ne sera calmée qu'une fois que tu rentrera, mais tu sais aussi que ça durera bien une heure. Et tu ne préfère pas imaginer l'angoisse dans laquelle elle sera plongée, noyée dans ces interminables minutes qui réparent sa bêtise. Ne pas y penser. Dans tes mains, tu tiens ton sac et son précieux contenue tellement fortement que les jointures de tes doigts blanchissent. Ce n'est pas bon. Tu es tendu, puisque tu ne tuera pas comme tu as l'habitude de le faire, parce que cette explosion programmée te fait un peu peur, parce que tu espère que Lill restera sagement au cabaret après sa besogne et parce que tu prie pour que personne ne l'y trouve. Soupire, remet ton bandeau si tu veux, revêt ton masque de gentillesse et salue donc tout ceux que tu connais dans la rue, accuse les regards glissants sur ton cache-oeil, sourit, sourit, puisque c'est ta plus grande arme. Même devant tes mains. Tu les regardes un instant, ces mains blanches intégralement cachées par ce cuir noir, et tu souris, encore. Tu le fais pour leur bien, c'est ce que tu te dis, c'est de ce quoi tu te convaincs, puisque tu le fais pour éviter d'autres débordement, puisque c'est pour ta seconde famille, pour Lill. Et tu reviens à ce sujet, toujours, même si tu te fait violence pour penser à autre chose, tu veux toujours comprendre : elle a dit qu'elle n'avait pas eu d'autres choix que livrer ces noms. S'ils ont débusqué Lill, le jeu devient dangereux pour vous tous. Tu secoue la tête, continue à marcher de façon leste et énergique, jusqu'à enfin arriver devant ton objectif. La Citadelle grise n'a pas volé son nom, avec ces mornes tours cendrée et sa façade de même couleur. Disons que ça change de ton lieu de travail pailleté de multitudes de couleurs, sans parler de l'ambiance. Encore, tu te dis qu'aujourd'hui, elle est à son maximum - portes ouvertes obligent. Tu rentres donc par les grandes portes grises sans aucuns soucis, te mêle à la population, monte d'un étage et surveille la porte d'entrée en attendant la venue des cibles. Tu connais cette Citadelle, que ce soit parce que tu y vient souvent pour récupérer des articles ou bien parce que tu as étudié les plans de l'E.A.N.N.T, toujours est-il que tu sais t'y repérer. Une chevelure blonde accroche ton regard : Ashford, toujours accompagnée de cette barrette rose un peu trop flashy. Elle va à droite, sûrement direction les entrepôts, deux étages en dessous. Lill t'avait bien dit qu'elle leur ferait croire qu'ils devaient chercher une machine. Il fallait juste que tu y arrive avant elle. Tu commences à marcher prestement, arrive devant l’ascenseur et l'appelle avant elle. Tu ne l'attends pas, te dirige vers les escaliers et descends de trois étages. Ici aussi, il y a d'autres personnes, mais moins : seulement des clients qui viennent récupérer quelques machines. Tu salue le garde, il ne se méfie pas ; après tout, ne l'as-tu pas fait rencontrer sa femme ? Enfin, disons plutôt que tu as agit de manière à l'avoir dans ta poche. Tu lui souris, il t'ouvre la grille sans même trop poser de questions et tu t'engouffre dans le grand hangar rempli de machines cachées sous bâche. Rapidement, tu vois les caméra et repère un angle mort sous l'une d'entre elles, dans un angle : ce n'est pas vraiment ce qu'il manque, ici, avec ces obstacles à leur surveillance qui changent chaque semaine. Et tu attends. Ashford ne va pas tarder, Hallow sera dans sa foulée, peut-être même arriverons-t-ils en discutant. L’ascenseur sonne, la blonde sort, montre la lettre qu'elle a reçue et passe sans plus de problèmes ; toi, tu remercie Lill intérieurement. Elle s'approche, cherche le numéro inscrit sur le papier, alors qu'il n'existe même pas. Tu attends tout de même qu'elle approche, immobile au milieu de l'ombre des monstres mécaniques, tes pupilles bleues se méprenant un instant à celles d'un serpent. Tu t'apprêtes à frapper, alors tu enlèves tes gants noirs avec la plus grande délicatesse pour les ranger dans la poche intérieur de ta veste. Peu à peu, tu sens l'excitation monter dans ta poitrine mais tu t'oblige à rester impassible. ▬ Madame, quel numéro cherchez-vous ? Je l'ai peut-être déjà vu ... Vous savez, ça fait bien trente minutes que je cherche ma machine ! Elle te regarde, incrédule. Peut-être que ta tête lui quelque chose, peut-être qu'elle est simplement surprise ; peu importe, elle s'approche, de sa démarche pleine d'assurance. D'après ce que tu sais, la drogue la rend élastique -rien de bien compliqué à éliminer. ▬ H28467, je crois. Ça devrait être par là-bas, si on en croit le plan. Tu lui demande à le voir et, lorsque tu prends la feuille, tu effleures ses doigts. Ça suffit à la faire flancher et tu sais que tu dois agir vite. Tu lui dit qu'elle est pâle, l'invite à s'asseoir par terre en lui offrant ta main. Stupide fille. Elle s'effondre, ne comprends pas, mais toi, tu souris. Le dos contre une machine, tu continue à lui serrer la main, tandis que tu vois ses yeux perdent peu à peu leur éclat, peu à peu leur vie. Tu t'approches de son oreille, colle ta joue contre la sienne, sa gorge lâche un hoquet. Oh, Andras, ton contact est mortel. Oh, Andras, comme tu aimes toucher les joues des jeunes filles de tes fins doigts. Seulement, Ashford ne mérite pas de souffrir trop longtemps, alors tu l'achève rapidement. De plus, quelqu'un pourrait venir par ici, alors tu te dépêche de givrer doucement sa peau, d'enlever toute énergie à ce corps déjà mort. Sans attendre, tu tire un peu sur une bâche et cache son corps avec, de façon à ce qu'on ne le voit pas, et tu attends patiemment Hallow en commençant à programmer ce qui va se charger de dérégler une machine pour toi. Tu n'as pas à souffrir d'impatience, car ta seconde cible se montre tout de suite, fidèle à lui-même : grand, brailleur, jurant, et surtout insupportable. Il s'avance, avec son pas lourd digne d'un éléphant, observe autour de lui avec des yeux de bovins et te dépasse, sans même te prêter attention. Tu dois agir vite. Comme l'ombre que tu es, tu te faufile discrètement derrière lui et plaque tes deux mains sur son visage, dont une sur sa bouche. Il se débat, tente de se libérer, mais il cède bien vite à tes doigts et ton don. Comme quoi le sien n'a pas servi à grand chose. Lui, tu ne prends pas le temps de l'observer, tu sais de toutes manières que son regard jettera cet air morne et vide, comme tous les autres. Rapidement, tu tente de le cacher sous une bâche, mais il est trop grand pour que tu y arrive totalement. Avec un peu de chance, on prendra ce tas pour une machine plus petite. Les deux sont côtes à côtes, il ne reste plus qu'à placer l'engin qui programmera l'explosion dans le moteur. Une fois cela fait, tu sors de ton sac cette chevelure blonde, avec la pince rose fluorescente, comme celle d'Ashford, avant de partir calmement, sa veste sur les épaules et ta silhouette filiforme faisant le reste. De toutes manières, la caméra qui a filmé leur venue dans ton coin devra être détruite dans l'explosion, ainsi que l'enregistrement présent au poste du garde -il y a beaucoup d'essence, ici. Un autre angle mort, tu enlève la veste et la perruque que, comme les corps, tu caches sous une bâche. Ne te reste plus qu'à t'en aller avec un objet que tu aurais dû récupérer depuis longtemps. Le paquet sous le bras, tu passes à nouveau la porte, sous le regard bienveillant du garde. Un faux sourire sur les lèvres, tu espères qu'il crèvera dans l'explosion. Tu ne l'as jamais vraiment aimé. Comme à l'aller, tu emprunte les escaliers pour monter cette fois de deux étages. Il te reste cinq minutes. Ta fuite est largement négociable. T'approchant de l'entrée, tu fais mine de t'intéresser aux panneaux vantant les mérites du Phoenix ; intérieurement, tu t'imagine en train de les arracher. Et ça, ça te fait sourire. Tu t'apprête à faire demi-tour, à t'en aller aussi discrètement que tu es venu, mais une chevelure rouge capte ton regard. Il n'est pas vraiment difficile à reconnaître, avec son masque occupant la moitié de son visage, ses lunettes et surtout, ses cheveux pour le moins marquant. Amadeus Raffaëlo Naevius, ou Cancer pour son organisation. Tu as une idée en tête et encore quatre minutes devant toi. Juste assez, semble-t-il. Tu marches dans ce couloir, à gauche, du même côté que lui. Tu l'observe un peu à la dérobée avant de baisser la tête, comme pris dans tes pensées. Cinq secondes avant impact. Pourtant, tu continue à la même allure. Quatre. Tes pas résonnent dans ce couloir trop haut, en réponse au siens. Trois. Tu pense que relever la tête à la seconde suivante serai une bonne idée. Deux. Alors oui, tu la relève. Une. Fais donc semblant d'être surpris, il ne te regarde même pas. Impact. Et seul le bruit de ses pas continue de casser le sol. Tu as été ignoré, Andras. Ignoré. Comme la dernière fois. Ce n'était qu'un accident. La fois où tu touchera leurs visages, ce ne sera aussi qu'un accident. Tu vois rouge ; mais tu dois retenir son attention. Une idée, vite, Andras, une idée ! Tu cries presque le dernier mot, histoire qu'il ne puisse plus tout simplement te rayer de ce couloir, histoire de t'imposer à lui. Dans ta main, tu as déjà ce qui ce trouvait dans ta poche : un stylo. Oh, pas n'importe quel bic, non, lui est fait de matériaux lourds, tu sens son poids sur tes doigts, tu sens son histoire au creux de ta main. Tu le soulève pour lui montrer, pour mettre en évidence les initiales présentes. A. N., gravures alambiquées au milieu d'arabesques. Ce sont les tiennes, mais elles correspondent aussi aux siennes -et là, tu remercie ton groupe pour les informations que tu as sur des personnes comme Amadeus. Enfin, tu reprends. ▬ Est-ce qu'il vous appartient ? Il me semble qu'il est tombé lors de notre collision et je ne me souviens pas d'avoir un tel stylo sur moi. Enfin, peut-être que je me trompe, mais ce serait fâcheux que je le garde alors que vous êtes le réel propriétaire, non ? Tu souris de façon légère, juste pour ponctuer la sympathie avec laquelle tu as parlé. Maintenant, à lui de jouer. S'il te le rend, tu gardera à l'esprit qu'il n'est peut-être -peut-être, mh- pas aussi pourri que ça. S'il le garde, tu t'assureras que le nom d'Amadeus figure en haut des têtes à couper. Ah, Andras, ce que tu es sympathique, aujourd'hui. Il ne reste que deux petites minutes avant le feu d'artifice. Enfin, l'explosion. {HRP ;; si tu as la moindre réclamation, dis-le èé} |
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